4e de couverture

Inégalités de richesses indécentes, politiciens hors-sol, lois liberticides et infantilisantes, médias de masse abrutissants... Que peut-on faire ? S'engager, manifester, faire sa part ?
Et si la première question à se poser était : pourquoi acceptons-nous, en tant que peuple, de nous soumettre ?

Le privilège n’a d’autre projet que de se perpétuer, de consolider les rapports de force en édifiant un système dont nous sommes individuellement et collectivement des rouages naïfs et essentiels. Génération après génération, nous entretenons notre impuissance en nous conformant à des règles injustes, en ressassant des discours convenus.

Prendre le temps de l’observation, du recul, c’est s’offrir l'opportunité d'explorer les racines de la soumission populaire, de penser en dehors des dogmes, de redécouvrir notre puissance révolutionnaire collective.